Présentation
La Série « MONNAIES » de Philippe ASSALIT,
2012
La série « Monnaies » (titre
envisagé) en cours de réalisation et inédite à ce jour, réunit au moins une
quarantaine de portraits photographiques pour l’événement de sa première
présentation. Elle sera complétée au fur et à mesure des expositions dans
différents lieux du monde.
Philippe
Assalit, artiste photographe, a réalisé plusieurs séries sur la figure humaine
présentées lors d’expositions prestigieuses. Philippe Assalit expose ses œuvres
depuis 20 ans. Il a travaillé notamment avec le Centre Georges Pompidou et a
participé à plusieurs Biennales Internationales. Il a été présenté plusieurs
fois lors du salon Art Paris Art Fair au Grand Palais. Il est reconnu parmi les
grands noms de la photographie avec lesquels il expose régulièrement, en
France,en Allemagne, en Hollande, en Belgique, aux Canaries, au Portugal, en
Espagne, en Italie, au Moyen-Orient en Asie du Sud est.
Il a été édité plusieurs fois en monographies, apparaît dans
plus de 10 catalogues ainsi que de nombreuses revues dont le luxueux Magazine
de mode et littérature Faux Q , Côté Paris ou encore Jasad au Liban. Ses œuvres
ont rejoint des collections prestigieuses :
- la collection Myriam & Amaury de
Solages,
- la Golden Brain Art Investment
Collection,
- la collection LX Patrimoine,
- la collection Larzul,
-
la collection du centre d’art contemporain Santa Cruz, Tenerife, Canaries,
-
la collection du Musée de l’Image, Braga, Portugal.
Par ailleurs, un très
grand nombre d’œuvres se trouvent dans des collections privées en Europe et aux
USA.
Il a été parrainé par le
conservateur photographique du Centre Georges Pompidou Monsieur Alain Sayag et
a été présenté lors de deux commissions du FNAC Fonds National d ‘Art Contemporain.
L’actrice et réalisatrice
Julie Delpy a retenu les œuvres de Philippe Assalit qui apparaissent dans son
film Franco-Américain « Deux Jours à Paris » avec Adam Goldberg.
La nouvelle série « Monnaies »
est une collection de portraits dans laquelle le photographe façonne chaque
visage qui est à la fois le portrait d’une personne originaire d’un pays et un
bout d’histoire de ce pays.
Chaque photographie est un portrait d’une
femme ou d’un homme qui porte sur son visage tout ou partie des billets de
banque en cours ou historiques de son pays.
Le regard de chaque portrait offre son
monde singulier.
La série de portraits nous dit la
diversité et la richesse du monde.
Il y a le billet de banque, petit morceau
de papier que l’homme aime tenir :
- parce qu’il est nécessaire à
l’échange ; qu’il passe de main en main, des milliers de mains, échappe et
revient ;
- parce qu’il est souvent beau au
regard de la beauté des dessins gravés et de la précision du trait et des
ornementations;
-
parce qu’il vient nous rappeler des prestigieuses figures humaines
universelles, l‘extraordinaire richesse du monde végétal ou animal, des
paysages, de l’architecture, ou encore
témoigner de l‘homme au travail, de l’histoire des peuples, des
découvertes scientifiques, des révolutions, des œuvres d’art…
- en raison de sa texture si particulière
qui appartient à chacun, comme la peau capable de supporter la pluie, la
lumière, l’usure du temps ;
- parce qu’il restera un témoin du voyage
dans un pays voisin ou lointain, trésor gardant à jamais sa part de mystère car
partiellement déchiffrable ;
Il
y a dans cette série une collection impressionnante de billets de banque mis en
image (plus de 600 effigies), en entier ou dans certains de leurs éléments,
représentés une fois ou dupliqués plusieurs fois pour devenir bijou, couronne,
voile, masque, chapeau, vêtement, maquillage, tatouage…
Il
s’agit incontestablement d’un projet ambitieux :
-
par le désir de faire le portrait de la diversité des cultures du monde
-
en raison de l’ampleur de la collection initiale (environ 40 œuvres) et
des possibilités de développement et de réalisation d’autres portraits au gré
des rencontres et des possibilités d’expositions à travers le monde; cette
série pourrait atteindre les 80 pièces.
-
Le format des œuvres (80 X 120 cm) et l’encadrement (Face image sur Dibond)
permet de lire l’image du portrait et
les représentations sur les billets dans tous leurs détails ;
A
ce jour, cette série est inédite à l’exception de la photographie relative au
billet « one dollar USA » qui est parue dans la revue « Faux
Q »,
Ce projet
a le soutien de la galerie Acte2, 41 rue d’Artois Paris 8ème,
galerie qui expose le travail de Philippe Assalit depuis plusieurs années, de
l’éditeur « Chez Higgins », éditeur de portfolios de photographies,
objets de collection. Il a été approché par le cabinet Ernst & Young
France. Plusieurs axes de diffusions sont en cours en France et à l'étranger.
